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Articles

Affichage des articles du décembre, 2018

Soyez enfin libres !

  Crédit Photo: google Le « New Hampshire » est l’un des États faisant partie des États-Unis d’Amérique. Sur la plaque d’immatriculation des Véhicules de cette région du Nord-Est des États-Unis, il est écrit ceci : « Live free or die ». Ce qui se traduit en français par « *Vivre libre ou mourir* ». En lisant cette légende, je comprends l’importance de la liberté. Il est donc clair qu’il vaut mieux mourir, que de ne pas jouir sa liberté, de ne pas pouvoir dire ce que l’on pense réellement. Cela sous-entend également que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue, sans se sentir libre, sans jouir de sa liberté. Beaucoup sont prisonniers depuis des dizaines d’années sans se rendre compte. Et ce sont des bagatelles qui les mettent en captivité. Ils circulent librement, vont où ils veulent, mais ne sont pas réellement libres. Ils pensent qu’être privé de liberté est de ne pas pouvoir se déplacer à volonté, dire ce que l’on pense. Pourtant, ils ignorent que cela peut être le refu

Penses-tu n’avoir aucune dette envers personne ?

Crédit Photo: Google                                                          J’étais allé adorer un Sabbat Matin à l’Église Adventiste Sinaï de Plantation, aux États-Unis. Je me sentais dans la joie. Non seulement c’était le Sabbat, mais aussi parce que le nom de Dieu était glorifié à travers de beaux chants. C’était il y a plus de six mois. Perry Jean était l’artiste invité. Cet homme a une voix formidable. Je frémissais quand il chantait. L’artiste prenait le temps de parler de sa vie. Il racontait qu’il s’adonnait à la consommation de la drogue. Il était allé plusieurs fois en prison. Perry Jean ne voulait pas écouter sa mère. Finalement, il avait compris que Dieu l’aime, et s’est donné à Christ. Après le culte, je suis allé à sa rencontre. Je lui avais dit des mots d’encouragement. Il m’avait donné ses coordonnées, à ma demande. Et j’avais aussi promis de l’appeler. C’était ma dette envers lui, il y a plus de six mois. Ma conscience me reprochait de n’avoir encor