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Articles

Affichage des articles du 2020

L'opposition prostituée...

Seul Dieu et les imbéciles ne changent pas, dit-on. Une petite phrase que les renards de l'oppoition utilisent souvent pour justifier leur gourmandise du pouvoir. Ils cherchent tout argument qui ne tient pas. Ils refusent de dire: Je suis un (e) prostitué (e) politique. À mon avis vous n'êtes pas imbéciles. Et vous ne sauriez être Dieu. Car, Dieu ne change de position que pour accomplir quelque chose en faveur de ses enfants, qui implorent Sa grace. Vous êtes plutot "Entèlijaaaaaaaan". Vous n'êtes que des voleurs, imposteurs à l'instar de Jovenel Moïse. D'ailleurs vous vous rangez déja de son côté : qui se ressemble s'assemble. Il est clair que Jovenel soit un voleur. Donc, vous l'êtes aussi. Il est temps de dégager le passage. Le masque ne tient plus. Vous êtes encore vivant politiquement, parce que la majorité des journalistes sont des paresseux. Ils se nourrissent et s'enrichissent de vos bêtissent. Ils refusent de chercher

Jean Michel Lapin, le Saint Pierre auprès du dieu Jovenel Moïse...

L'ex premier ministre de facto est sur le trône du PHTK. Il est investi d'un pouvoir sans limite. Qui l'aurait cru? Jean Michel Lapin est le Saint Pierre comme dans la croyance catholique : Pour trouver grace devant le dieu Jovenel Moïse, il faut passer par Lapin. Selon une source proche de l'ex premier ministre, Jean Michel Lapin serait le tout-puissant, qui contrôle tout. Il travail en silence de son lieu saint. Jouthe ne fait que jouir des privilèges qui vont avec son poste de premier ministre... fantoche. Lapin détient la clef des directions générales et postes ministeriels. Il contrôlerait les moindres faits et gestes au sein de l'actuel gouvernement. Il nomme, remplace, propose et conseille Jovenel Moïse. Selon cette même source, Jovenel Moïse ne compte pas avoir Joseph Jouthe à ses côtés pour les prochaines élections. Des rencontres ont même déjà eu lieu, et Jean Michel Lapin se charge déjà du remplaçant de Jouthe. Et c'est normal, puis

Réginald Boulos, instigateur de nos malheurs, se moque de ses employés

Réginald Boulos ne cesse d'étonner. Dans le mauvais sens, bien sûr. Il prend la peau d'un ange, étant démon, pour manipuler ses employés, lui qui est en pleine pré-campagne électorale. Il veut, à mon humble avis, leur faire croire qu'il les bénit. Ces gestes pour la rentrée scolaire est comme la manne venue du ciel. Quelle audace! La semaine dernière, le groupe Boulos sort un communiqué. Dans ce document, Réginald Boulos annonce avoir octroyé deux cents (200) dollars à chaque employé. Objectif: répondre à certaines exigences, pour la rentrée scolaire. De plus, il y a un ajustement de salaire de 10%. Avec un salaire de dix mille (10.000) gourdes, ça fait exactement Onze mille (11.000) gourdes. Que peut-on réaliser avec de tels salaires, surtout pour des pères et mères de famille? C'est une initiative louable, dirait-on. Les plus naïfs et les plus emotionels seulement parleraient ainsi. D'ailleurs, ils augmenteraient les prix de ses produits. Donc, il r

Inspiration: l'apparence qui nous tue.

 Certains bâtissent leur vie sur une image fausse d'eux-mêmes. Ils veulent être en vue. Et tous les moyens sont bons. Voilà ce qui explique nos excès pour maintenir l'illusoire standard créé autour de nous. Ça coûte de l'argent, du temps, de l'énergie. Et ça nous coûte aussi notre crédibilité, une fois découvert. Nous nous baignons dans un bassin de mensonges. Se faire passer pour un autre est un choix. Cela est dû au complexe que nous développons avec le temps. C'est le refus de l'acceptation de soi. Nous misons beaucoup plus sur l'apparence que sur la capacité qui est en nous, qu'elle soit petite ou grande. Nous privilégions le superficiel en lieu et place du profond. Nous voulons être félicités, vus en haut de l'échelle de valeur basée sur des préjugés. Nous sommes devenus complexés au point tel que nous ne vivons pas une vie authentique. L'apparence que nous voulons avoir nous tue. Elle nous rend prisonnier, misérable. Il n

Inspiration: Soyons le personnage que nous incarnons!

Chacun de nous incarne un personnage dans la vie. Nous vendons assez souvent un personnage que nous ne sommes pas. Tous, nous faisons quelque chose pour gagner notre vie quotidienne. Que l'on soit professionnel, commerçant ou simple manoeuvre, nous sommes comme dans un film, une scène de théâtre. Nous jouons tellement bien notre rôle, que certains rêvent de vivre à nos côtés. Ils imaginent le bonheur de ceux qui nous entourent, tant que nous sommes gentils, patients et compréhensifs. Est-ce vrai au fonds? Nous vivons à l'air du "faire semblant", du marketing en business. Objectif: <<Attirer et fidéliser. Jouir d'une bonne réputation>>. Les professionnels, les ouvriers sont les acteurs qui incarnent le rôle des gentils. Il y a, par exemple, l'agent du service à la clientèle qui ne s'impatiente jamais, le/la réceptionniste qui vous acceuille chaleureusement, le médecin qui prend soin de ses patients avec passion. Mais, pourquoi ne

Inspiration: Quand on croit avoir tout perdu

Notre société exerce une grande influence sur nous. Elle nous dicte subtilement ce que nous devons faire et comment nous devons comprendre les choses. Et même nous, les chrétiens, nous sommes sous l'influence d'une société que nous devrions influencer. Vous est-il déjà arrivé de perdre un être cher, une chose qui était comme une source de soutien, de revenus? J'imagine votre douleur, car moi aussi, cela m'est déjà arrivé. Je ne regrettais pas véritablement mes pertes matérielles, ces choses m'importaient peu, mais je m'inquiétais beaucoup pour mon lendemain, de ce que sera ma vie. Pourtant, j'avais complètement oublié ce que dit Matthieu 6:34 : « Ne vous inquiétez donc pas du lendemain ; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine». Une garantie que Dieu *nous a réitéré par la bouche de son Fils et laissé à la postérité par la plume de* son serviteur Mathieu. Et si cela ne suffisait pas, je devais me tourner vers cet

Inspiration: Cadeau et bâton...

Personne n'est né sans un cadeau Divin. J'entends par cadeau, la capacité de bien faire quelque chose, sans avoir été à l'école. Même si, dans certains cas, l'école aide à avoir une autre vision de l'utilisation de ce don venu du Ciel. Mais, nous sommes aussi nés avec de petites facultés. C'est ce que, dans ma compréhension, j'appelle bâton. Le bâton n'est pas pour frapper, mais pour détruire certaines mentalités qui nous retardent. Des mentalités construites en nous par notre société, peut-être, ou par nous-mêmes. Le bâton est ce que le tuteur est au bananier. Dieu, dans sa Providence, le fait ainsi dans la vie de chacun de nous. Le bâton est donc cette faculté qui sommeille en nous. C'est ce détail que nous méprisons presque toujours ou qui, souvent, nous échappe. C'est cette autre chose que nous pouvons faire, mais que nous croyons si peu pour nous permettre de décoller. Nous avons tous l'habitude de penser ainsi, même pour

Il manque de scandales!

Deux ou trois autres petits scandales dans la presse aideraient beaucoup. On ne peut pas reconstruire Haïti, sans s'attaquer à la fondation du système corrompu. Sinon, ce serait du réaménagement, du colmatage au rabais. Ce serait, à l'instar d'une femme de 70 ans, après une chirurgie plastique, une jeunesse ravissante à l'extérieur avec des organes qui vieillisent à l'intérieur. La presse est donc un pilier de ce système. Des gens à micro, des journalistes, se faisant dieux, absolvent les péchés de nos officiels. Ils décident de qui est saint, après des pots-de-vin. Alors, comment penser un autre pays avec une telle presse? Mon plus grand regret, c'est de ne pas avoir des officiels qui se sont succédé au sein de l'État, qui mettent à nue les saints de la presse. Ils diraient qu'ils payent chèrement des journalistes pour avoir un moment de répis pour des bêtises commises au sein de l'État. Ils diraient le prix de chaque corrompu de la p

Inspiration: N'oublie jamais l'essentiel. Ta vie est bien meilleure.

T'est-il déjà arrivé de vouloir te balader dans la rue les pieds nus, mais tu ne le fais pas, croyant que les normes sociales te l'interdisent? T'est-il déjà arrivé de vouloir prendre ton petit déjeûner au bord de la route, mais que tu as peur des critiques des autres? De tes collègues? Tes parents? T'est-il déjà arrivé de te sentir gêné de faire ce que tu as vraiment envie de faire, juste parce que tu es une personnalité publique et qu'il y a une échelle de valeur pour les gens de ton rang ? Nous sommes tous déjà tombés dans ce piège malicieusement tendu par la société. À un moment ou à un autre, elle nous impose notre style de vie. Du coup, elle définit ce que nous devons être ou tracer notre devenir. Et souvent nous nous soumettons à ses diktats. Nous sommes tombés dans le piège de la définition du modèle de la réussite. Cette société nous dit que la réussite est le fait d'avoir beaucoup d'argent, de belles maisons, de belles voitures, d

Inspiration: Les difficultés, les mépris, des oppotunités à saisir.

Il m'arrive, parfois, de sentir n'avoir le contrôle de rien. En ces moments, j'ai juste la sensation de n'avoir aucun pesant fardeau sur mes jeunes épaules. Il m'arrive de sentir que je vis une vie sans attache. Pas même à mon souffle de vie, d'ailleurs, qui n'appartient qu'à Dieu. Pas même, non plus, à mes deux ou trois petits rêves. C'est comme vivre la vraie liberté d'esprit. Ça rend léger. Pour moi, la vie commence dès l'instant où l'on a nulle envie de vouloir tout contrôler. Je me sens bien de me laisser emporter par les vagues de la rivière du temps qui passe. Certaines fois, quand on croît donner un grand coup à l'autre, on ne fait que lui donner l'élan dont il avait besoin pour prendre son envol, sans s'en rendre compte. On a été que le prétexte dont la Providence avait besoin pour débloquer l'autre. Certains sont motivés dans la souffrance. Ils trouvent toujours un élément déclencheur, un catalyseu

Notre indifférence nous tue...

Le pays meurt à petit feu. Chaque nouvelle journée le plonge davantage dans l'abîme. Nous vivotons dans la misère, la crasse. Nous avons tendance à nous y habituer. Et nous commençons même par accepter que c'est normal. C'est une tendance qui tend vers la perte de notre humanité. En clair, nous renonçons à la vie humaine. Traités comme des animaux, dans le contexte haïtien, nous acceptons cette métamorphose imposée. Car, un animal dans tout pays où le droit à la vie est une priorité, est traité avec amour et respect. Notre indifférence face à notre misère nous tue. Notre peur de nous battre nous met en situation de servitude. Elle est comme un poison qui doit provoquer un mort lent. Nous souffrons dans notre âme de ne pas pouvoir manger à notre faim. Cependant, nous ne voulonsnpas forcer nos dirigeants à assumer leur responsabilité. Nous acceptons de consommer une eau infecte et puante, fournie par l'État. Nous acceptons de vivre dans l'insalubrité, s

Les manifestations de nuit avaient un prix… André Michel se la coule douce !

La politique est le gagne-pain des hommes du secteur démocratique de l’opposition. Qu’ils soient avocats, sénateurs ou peut-être rien du tout, ils vivent de crises politiques. Ils sont prêts à tout. Ils font tout pour atteindre leurs objectifs : s’enrichir contre vents et marées. Cependant, ils se présentent toujours comme des saints. Ou encore, c’est ma préférée, comme des pécheurs convertis. Ils sont devenus de nouvelles créatures, mais pour mieux tromper. Le Secteur Démocratique et Populaire de l’Opposition nous trompait depuis le début. André Michel et alliés se servaient de la naïveté d’un peuple assoiffé de justice et du recul des jeunes Petro-challengers pour prendre l’avantage. Ils se sont montrés acides envers le pouvoir. Seuls les plus naïfs les croyaient. Pourtant, ils ne jouaient que le jeu de leur patron. Ils sont comme des robots, dont la console est bien gardée entre les mains d’une frange du secteur privé des affaires. Jovenel Moïse et le secteur démo

Village de Dieu : Et si Jovenel y posait ses pions pour 2022 ?

La bataille électorale commence depuis plus de trois ans. Car, il faudra à tout prix remplacer Jovenel Moïse, le corrompu, par un autre de la même trempe ou pire. Un autre menteur, un autre bandit légal, dirait-on. La prolifération des gangs armés n’est guère un hasard. Mais, c’est le plan de plusieurs chefs d’État qui se sont succédé à la tête du Pays. Objectif: maintenir le pouvoir, en s’appuyant sur la force des armes, et non sur les résultats. Avec Jean Bertrand Aristide, en 2003 et 2004, notamment, les « Chimè » Lavalas avaient le plein pouvoir. Mais, le règne du PHTK, avec Michel Martelly et Jovenel Moise, rebâtit Haïti en paradis des gangs armés. Ces groupes, mieux équipés que les agents de la PNH, contrôlent presque tous les recoins des quartiers populaires, dont cité Soleil et Martissant. Ces zones, en période électorale, pèsent beaucoup dans l’électorat. Alors, pourquoi ne pas en entrer en possession avec des chefs que Jovenel Moïse contrôle ? Le premier min

Profite de la vie…

 Certains amis me traitent de cynique. Ils croient que je vis en dehors de la plaque. Ils pensent ainsi, du fait que je ne partage pas souvent la logique de la majorité. Après tout, la majorité n’a pas toujours raison. De plus, j’ai ma propre façon de vivre la vie : ce que je crois bon et bien, ma croyance chrétienne, et les moyens dont je dispose. Bref ! Travailler durement afin de gérer les mauvais jours, sans vraiment profiter de l’instant présent, c’est une tendance majoritaire. C’est, dans un sens, la logique de Jean de la Fontaine insérée dans la Fable « La cigale et la fourmi ». Oui, c'est bien, et je n'en disconviendrai pas. Je suis du genre à travailler durement aujourd’hui et en profiter au maximum. Je vis au jour le jour la brûlante envie que la vie sur terre soit éternelle. Je ne compte pas sur demain. Les expériences du passé m’ont appris beaucoup de choses. Par exemple, je vivais avec ma mère, mais je lui parlais peu. Pourtant, j’avais envie de con

Coronavirus: La cuisine, ma limite... mon mari, potentiel vecteur de transmission.

Le virus interdit. Il impose ses lois. Il donne un autre sens à la vie des gens. Chaque personne vit cette nouvelle réalité d'une manière différente. Certains perdent leur job, d'autres travaillent encore, mais l'argent semble un poison nécessaire. Oui, puisque les soucis de l'avenir inquiètent. De plus, on en aura besoin, quand tout sera passé, mais surtout pendant la période du confinement.  Enfermée chez elle, Marie, une jeune mère vit l'angoise de l'incertitude du demain. Elle se sent comme dans une prison. « Je ne peux pas aller plus loin que ma cuisine. Pas même la porte », se plaint Marie. Mère de deux enfants, dont un nourrisson, elle vit difficilement le confinement. Tous les jours se ressemblent. Ce sont les mêmes routines du quotidien, sans savoir quand elle va pouvoir profiter du Soleil de cette ville des États-Unis, où elle habite avec son mari.  Les journées de Marie se résument à prendre soin de ses deux enfants. Elle avait arrêté de t

Coronavirus : Mèt Kò ki Veye Kò!

Mèt Kò ki Veye Kò est un dicton créole qui veut que la protection de soi soit une responsabilité personnelle. On l'entend répéter en Haïti quand l'insécurité bat son plein. C'est aussi un slogan du MSPP quand on fait face à de grands troubles sanitaires. Mèt Kò ki Veye Kò En ce temps où le Covid-19 parcourt le monde à une vitesse vertigineuse et où Haïti a déjà enregistré Six (6) cas confirmés, ce proverbe se révèle plus utile que jamais. Surtout quand on sait que les structures de santé de notre chère patrie sont d'une précarité alarmante, pour ne pas dire qu'elles sont inexistantes. Alors, se Mèt Kò ki Veye Kò : 1- Lave men nou souvan 2- Pa kite moun touse nan figi nou 3- Pa bay moun lanmen 4- Bay tout moun 3 pa de distans 5- Rete lakay nou Cette liste, loin d'être exhaustive, ajoutez-y les autres conseils et recommandations des autorités compétentes. Mèt Kò Ki Veye Kò Chaque situation de la vie courante, aussi inquiétante soit-elle, est une occasi

Je regarde en arrière, et je vois la gloire de Dieu

Notre passé vaut de l'or. Il nous apprend beaucoup de choses sur ce que nous pouvions faire, sans l'avoir su auparavant. Il nous aide aussi à orienter l'avenir, dans la mesure du possible. Mais, au-delà de tout cela, il nous apprend à reconnaître la gloire de Dieu. Oui, car Il tient le contrôle de l'univers dans Ses mains. Et qui fait de nous ce nous sommes aujourd'hui? Lui! Que l'on soit des personnalités importantes, ou qui qu'on puisse être la gloire de Dieu est en nous.  Dieu fait tout pour une raison. Certaines fois nous ne réalisons pas ce qui pouvait se passer, si ce n'était Sa présence dans notre vie. Notre passé est entaché d'embûches, d'événements malheureux. Mais, nous sommes encore en vie, libres. Même s'il arrive que l'on vive avec un handicap physique ou mental, il y a toujours une raison de voir la gloire de Dieu. Ç'aurait pu être pire. Mais, seulement Dieu sait pourquoi.  Dieu nous élève. Il le fait pour sa

Jouthe, détracteur de Jovenel, une marionnette à la primature

« Mécontent ou pas, je n'ai pas le droit de commenter une décision du Président de la République ». Seul un sous-homme pouvait admettre qu'il n'a pas de volonté. Seul un homme vendu pouvait débiter de telles idtioties. Et c'est aussi la preuve évidente du caractère dictatorial d'un president voleur, corrompu et hors la loi: « Le président a parlé, point barre! ». Cela explique clairement qu'être premier ministre illegal ou pas exige qu'on soit le gentil petit toutou de Jovenel. Sinon, votre place est ailleurs. Nous hatons nos pas encore plus vers cette pente dangereuse. Car, avec un inculpé déjà sans vision, suivi par des aveugles, et robot en plus, le pire est le seul résultat à escompter. On se noie parce que des hommes chercheurs de pain sont au pouvoir, parce que nous n'avons pas de capitaine à bord. Nous nageons dans la merde, parce que nous avons des dirigeants "salop".  L'insanité morale pue partout. Dans nos égli

Je vis ma vie, c'est tout ce qui compte!

Ils vous font croire en un modèle de vie, qui est le type, et vous, vous vous battez de le vivre. Pourtant, vous avez votre propre façon de voir les choses. Vous avez vos petits moments entre amis, collègues de travail, parents, et vous abandonnez tout ça pour suivre les directives d'un raté dans la posture d'une personne épanouie, réussie? Des petits moments entourés de gens qui vous disent la vérité en face, qui sont là parce que vous êtes vous, et non pour la personnalité importante que vous êtes, aucune richesse du monde ne peut les acheter. Soyez esclave de votre perception de la vie. Si l'envie vous prend de vous asseoir au coin d'une rue, peu importe les habits que vous portez en ce moment, faites-le. Pourvu que ça vous procure le bien-être bien enfoui en vous qui veut s'extérioriser. Si vos entraillles sont déchirées par l'envie de manger sur le trottoir, n'hésitez pas! Car, c'est votre vie. À moins que la loi ou votre croyance re

Presqu'au bout de la pente descendante!

La bombe est amorcée. Elle sera destructive. Ce n'est plus les gangs armés qui s'affrontent, mais les deux forces armées légales du Pays. Beaucoup de pertes sont en vue. Déjà deux morts, un dans chaque camp, et plusieurs bléssés. Donc, les forces de l'ordre s'entretuent au champs de Mars, à l'instar des gangs armés, dans les quartiers populaires. Ce qui s'est passé au premier jour gras était prévisible. Il y avait une forte tendance hostile à l'organisation du Carnaval, mais aussi la volonté des policiers regroupés en syndicat au sein de la PNH de tout boycotter. Mais, il avait fallu l'entêtement des dirigeants sans vision de vouloir aller jusqu'au bout. Pire encore, ils n'avaient même pas pris des mesures, afin d'éviter ce scandale entre policiers et agents militaires. Cela est loin de finir, car les policiers ne jurent que par la reconnaissance de leur syndicat. Et les hostilités déclenchées entre soldats et policiers pourron

À Yanick Joseph et les autres policiers révoqués la tête altière!

Des actes héroïques font toujours peur aux "Restavèk" d'un pouvoir en place. Votre combat pour le respect de vos droits et de meilleures conditions de travail ne sauraient plaire au haut commandament de la Police Nationale. Vous aviez fait les démarches admnistratives, avant même de fouler le béton. Ils se sont bouchés les oreilles, et vous laisser vous plaindre. Vous vouliez assumer votre responsabilité, sans craindre pour votre Job. Et ce devait être le devoir de chaque employé de la fonction publique. Pourtant, certains ont peur pour leur poste.  Vous souffriez dans votre âme, à l'idée de ne pas avoir les moyens nécessaires pour répondre aux assauts des bandits. Des collègues tombaient comme des brebis sans berger. Quand un bandit est tombé sous vos balles, vous êtes les coupables. Tout cela était inacceptable. Personne ne pouvait vous dicter vos réactions, en voulant monter votre syndicat. Vous avez agi, à mon humble avis, à la dimension de vot

Notre indifférence nous tue...

Le pays meurt à petit feu. Chaque nouvelle journée le plonge davantage dans l'abîme. Nous vivotons dans la misère, la crasse. Nous avons tendance à nous y habituer. Et nous commençons même par accepter que c'est normal. C'est une tendance qui tend vers la perte de notre humanité. En clair, nous renonçons à la vie humaine. Traités comme des animaux, dans le contexte haïtien, nous acceptons cette métamorphose imposée. Car, un animal dans tout pays où le droit à la vie est une priorité, est traité avec amour et respect. Notre indifférence face à notre misère nous tue. Notre peur de nous battre nous met en situation de servitude. Elle est comme un poison qui doit provoquer un mort lent. Nous souffrons dans notre âme de ne pas pouvoir manger à notre faim. Cependant, nous ne voulonsnpas forcer nos dirigeants à assumer leur responsabilité. Nous acceptons de consommer une eau infecte et puante, fournie par l'État. Nous acceptons de vivre dans l'insalubrité, s

Et Boulos ne parle plus de départ de Jovenel Moïse!

Réginald se calme. Il n'est plus bavard, à l'instar d'un Jacot affamé. Certains disent qu'il vit avec la peur dans le ventre, craignant, peut-être, de subir le même sort que Dimitri Vorbe. Le faiseur de présidents ne se montre plus aggressif contre Jovenel: il faut dialoguer, mais des conditions s'imposent. Le discours d'imposteur ne tient plus, on dirait. Car, qui aurait cru que Réginald Boulos allait changer de discours si vite? Le discours contre la corruption , avec Jovenel Moïse comme cible, n'est plus de mise. Or, l'intérêt du peuple haïtien est dans ce combat. Il n'est l'ombre d'un doute Boulos ne dit pas tout, depuis son silence l'année dernière, après sa petite tournée aux États-Unis. C'était dès cet instant qu'il ne dénonçait presque plus Jovenel, jusqu'à parler de dialogue aujourd'hui. Un mot qui n'était pas dans le champ lexical de Boulos avec Jovenel Moïse au pouvoir. Il faut croire qu&#

75 mille gourdes, voilà le prix du silence de certains médias en ligne!

Jovenel Moïse veut à tout prix cacher ses bêtises, son incompétence. Il veut confirmer, une fois de plus, qu’il est le roi de la corruption. Et tous les moyens sont bons : l’exécution, l’emprisonnement et, surtout, l’achat du silence, ou encore constituer une association de propagandistes en ligne. Le régime est donc conscient que rien ne va, et que certains hommes et femmes avisés comprennent bien ce qui se passe. Jude Charles Faustin et Marie Esther, deux principaux agents de corruption des médias en ligne sont à l’œuvre. Ils vous disent que le gouvernement a un programme de subvention des médias en ligne. « Il faut éviter d’écrire des articles en défaveur du gouvernement », disent-ils sans détour. Une ligne budgétaire mensuel de 75 mille gourdes est disponible pour chaque média. « Il vous faut seulement donner une large couverture des activités du gouvernement », recommandent ces pourris. « Si l’équipe est satisfaite de votre travail, elle pourra augmenter votre salaire »,

Martissant, le cimetière des morts ambulants.

Des larmes et du sang coulent à Martissant. Des blessés et morts sont rapportés. La terreur chasse la tranquilité. Les anges de la mort sont à l'oeuvre. Ils se battent entre eux. Ils ne tiennent pas comptent du signe au seuil des portes des gens de bien, à l'instar de l'une des sept plaies d'Egypte. La vie perd son sens. Rien n'est sûr dans ce quartier. Sauf la mort. Tôt ou tard ce sera l'un d'eux qui partira. Une balle perdue dans la tête, une cible bien en vue, ce sont les bandits qui choisissent comment mourir à Martissant. Là, à moins de cinq kilomètres des ruines du palais présidentiel, la vie ne vaut rien. Aucune intervention des forces de l'ordre. Pères et mères de famille sont impuissants, face à cette terrifiante situation imposée par des bandits armés. Les égouts en ont assez de recevoir du sang. Le sol en a déjà abreuvé une goutte de trop. Qui pense à ceux qui vivent dans ce quartier ? Personne! Malgré ce qui s'y passe,