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Affichage des articles du décembre, 2019

À mes Fans et lecteurs: 2019, l’année des plus grandes découvertes !

Haïti agonise. Rien n’est sur pour l’avenir. La vie ne vaut plus ce qu’il valait, jadis. Nous sommes on ne peut plus livrés à nous-mêmes. Tout se dégrade. Même le prix de notre tête (mille gourdes), perd de sa valeur. S’unir pour éradiquer le mal du siècle, Jovenel Moise et ses bourgeois, n’est pas une priorité. Les jours passent, et deviennent de plus en plus fragiles à tout point de vue.  En 2019, le sol haïtien est maculé de sang. Des hommes et femmes meurent, à cause de leur unique péché d’exiger un  « mieux ju-être ». Ils voulaient seulement cracher leur colère, face à un système dont le plus fidèle gardien est le citoyen Jovenel Moïse. On dirait le diable voulait s’abreuver de sang. L’eau semble n’avoir suffi pour ce tigre ensanglanté.  Le quartier « La Saline » s’est transformé en forêt. Les chasseurs du pouvoir en place avaient carte blanche. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont abreuvé  du sang des citoyens de Carrefour-feuille, du Bel Air, de Carrefour

Jean Fritz Jean Louis creuse sa tombe, et passe aux aveux!

Crédit Photo: Google Le menteur dit ou fait toujours quelque chose qui le trahit. Et Jean Fritz Jean Louis n’en est exempt. Il est l’homme qui assurerait les relations entre le président Jovenel Moïse, impliqué dans la dilapidation de quatre milliards des fonds Petrocaribe, et des bandits armés. C’était Décembre   ça le soupçon, jusqu’à ce Mercredi 2019. Mais, tout a changé ce matin. Il a menti au sujet des mercenaires et de cette soi-disant attaque contre sa personne.   Intervenant sur les ondes de Radio Caraïbes ce Mercredi, Fritz Jean Louis confirme la version dans l’audio, qui circulait sur les réseaux sociaux. Le fichier parlait de sa rencontre avec des bandits. C’était au local de CETEMOH, au bicentenaire, l’ancien fief d’Arnel Joseph.    D’abord, Jean Fritz Jean Louis avoue que les bandits ne voulaient pas le tuer. «  M padone vagabon yo ki tire sou mwen an, men ki pa touye m (Je pardonne aux vagabonds ou bandits qui m’ont tiré dessus, mais ne m’ont pas ôté la vi