Je
ne vis pas de souhaits. Je vis d'actions empreintes d'amour, de respect et non
de pitié. Je ne fais pas de souhaits le premier jour de l'an. Je peux être
considéré comme en dehors de la plaque, mais c'est moi. Et j'assume. Car, je
suis du genre pratique.
Je
ne suis pas de ceux qui ont une double face : une affichée à la maison que
personne d'autre ne doit savoir, et une autre, la gentille personne, affichée
en dehors de la maison. Non! Je ne peux pas être ainsi. Je suis du genre
direct.
Il
est plus facile de parler que d'agir. Nombreux de ceux qui composent les
sociétés choisissent d'être ainsi. C'est aussi la coutume que certains
embrassent la tête baissée, dans un élan d'hypocrisie. « Qui sommes-nous
pour la changer? », se demandent plus d'un. Vous êtes ceux qui doivent
faire le premier pas vers des actions concrètes, après vos souhaits. Voilà
comment tout changer.
Beaucoup
de ceux qui font des souhaits sont des hypocrites. Oui, ils le sont. D'autres
sont de ceux qui font ce que la majorité fait. Comment une femme qui a mis son
mari à la porte peut lui souhaiter bonne année le 1er Janvier? Comment
quelqu'un qui n'est pas disponible pour vous servir sur la route de la
prospérité peut vous souhaiter de progresser financièrement? Vous êtes malades,
certains ne font rien, malgré leur moyen, mais vous souhaitent Santé le premier
jour de l'an. D'ailleurs ceux qui font ces souhaits sont les premiers à fuir,
quand vous avez besoin d'eux. La même bouche qui blesse 364 jour durant l'année
écoulée veut bénir le 1er jour du nouvel an. Et comme par miracle,
ces souhaits vont se réaliser, sans le coup de pouce qui manque.
Le
temps, comme j'aime souvent le dire, ne peut rien nous apporter, mais des
actions. Commencez par agir avec amour envers ceux que vous souhaitez bonne
année, et vos paroles correspondront à vos actions. Ainsi, sortirez-vous de
l'océan d'hypocrisie dans laquelle vous êtes plongés jusqu'au cou.
Commentaires
Enregistrer un commentaire