Des chercheurs de
pains et de miettes se font passer pour des militants. Ils se vendent à la
moindre petite offre. Il ne saurait être autrement, puisqu’ils ont été dépossédés
de leur humanité. Ils sont prêts à tout. Ils font tout pour continuer d’exister.
Quitte à détruire leurs camarades de lutte.
De même « Kòyò »
n’existe pas sans « Fatal », certains chercheurs de pain n’existent
pas sans des militants de conviction (Jusqu’à preuve du contraire). Et c’est
normal, puisqu’ils n’ont aucun discours politique convaincant. Ils sont connus
pour des « Abolotcho ».
Pour rester vivant, ils
sont prêts à tirer même sur une ambulance, considérée comme un véhicule
intouchable même en temps de guerre. En clair, ces chercheurs de pain, leur « Kwi »
à la main, s’attaquent à d’autres, jouissant d’une certaine crédibilité. Et quand
les attaques sont devenues fades, ils utilisent les sympathies. Et puisqu’après
les sympathies il serait indécent de recommencer avec les attaques, il faut
changer de stratégie pour exister.
On pourrait me traiter
de cynique, mais quand on est en face de menteurs, il est difficile de les
croire. D’autant s’ils sont connus pour « Vol » par « Ci »,
par Là. Ces gens, dans ce contexte où ils ne peuvent plus s’attaquer à d’autres,
peuvent tout inventer pour rester en vie dans l’actualité.
Quand vous avez
toujours été menteur, bluffeur, « Ti Visye souf kout », il est difficile
qu’on vous fasse confiance, même quand vous dites la vérité.
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