Accéder au contenu principal

Quand Moïse Prince Lindor chante le Saint Esprit !




Quel Chrétien n’a pas besoin du Saint Esprit dans sa vie ? Tout Chrétien en a besoin. Et Jésus le sait très bien. Voilà pourquoi il est dit dans Jean 16 :13 « Quand le consolateur sera venu, l'Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir ».

Dans son deuxième album titré « Sentespri Ou », (Ton Saint Esprit) de douze (12) titres, dont un morceau instrumental, Moïse Prince Lindor, traite un ensemble de sujet de la vie Chrétienne. Il parle de l’Abstinence, de Délivrance, de la Reconnaissance. C’est un mélange de plusieurs styles musicaux. Gospel, Swing, pop American et R N´B, l’artiste vous plonge dans la réalité chrétienne et dans un monde gouverné par le péché.

« Sentespri Ou », est le deuxième album de l’artiste. Il est déjà en vente aux Etats-Unis et au Mexique. Moïse Prince Lindor à un parcours très remarquable dans le milieu évangélique. En voici une fiche technique.


Titre de l’album : « Sentespri Ou ».

Date de naissance : 6 Juin 1976

Parcours comme chanteur : Lead vocal, arrangeur et maestro de plusieurs groupes musicaux dans différentes églises de la capitale (P-au-P). Comme par exemple : Shining stars de l’auditorium de la Bible ; Los Hermanos en Cristo d’Eben-Ezer, Los amigos en Cristo d’Horeb, Les Pèlerins de Salem, Les Benjamins

Lieu d’évolution actuel : Mexique et USA

Parcours académique : Psychologie clinique à la faculté, spécialiste en Psychopathologie clinique, Maitrise en Développement Régional, et Doctorat en Développement Régional (El Colegio de Tlaxcala, A.C), Professeur-Chercheur au niveau post gradué (CENTRO DE ESTUDIOS POLÍTICOS Y SOCIALES), spécialiste en droits humains, spécialiste en Résolution de conflits et de violence, écrivain.

Premier album : Oui


Projets à long terme : tournée internationale, ventes- signature en Haïti, USA et Canada.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Fanel Delva : de chauffeur de Tap Tap à journaliste !

Ma mère, après la mort de mon père, pouvait à peine nous donner à manger, mon frère ainé et moi. Faute de moyens financiers, elle nous avait envoyé au Cap-Haitien, chez nos oncles et tantes. J’ai connu des difficultés énormes. À une époque, je pouvais aller à l’école sans pouvoir me rendre à l’église : Les chaussures appartenaient à un de mes cousins, qui s’en servait, lui, pour aller à l’église. Je me suis battu pour vivre avec l’aide inconditionnelle de mes oncles et tantes, qui devaient, eux aussi, s’assurer de l’éducation de leurs enfants. Un de mes oncles avait une camionnette. J’en étais le chauffeur certaines fois, question de donner ma participation. Presque tous les dimanches, je faisais le trajet Cap-Haitien/Limbé. Arrivé en terminale, je n’ai pas pu passer plus de trois mois en salle de classe. On m’avait chassé de l’école parce que je ne pouvais pas payer les frais scolaires. Et comme je devais subir les examens d’état, je continuais à étudier chez moi. J’a...

Vivre en Haïti, c’est frôler la mort au quotidien

Crédit Photo: Photographe inconnu   Rien n’est sûr dans ce pays. Pas même la montée du drapeau. Vivre dans ce coin de terre, est le choix du vrai combattant. Ce dernier doit se battre contre l’insécurité, le non-accès aux soins de santé, le chômage, des propositions indécentes, le manque d’infrastructures routières. Ici, toutes les conditions sont réunies pour mourir toutes les soixante secondes. Nos routes et véhicules Piétons et automobilistes partagent le même espace. Le trottoir, étant occupé par des détaillants, prendre la chaussée reste l’unique alternative. Ce qui revient à dire que des vies humaines sont exposées, au manque de vigilance de certains conducteurs. Que dire de l’état de certains véhicules ? Ils sont des carcasses roulantes. Ces « véhicules » circulent librement sous les yeux des agents de la Direction Centrale de la Police Routière, DCPR, sans feux avant, encore moins d’avertisseurs sonores. Et que dire des installations électriques vi...

Le Dr MARC Espelando écrit à Jovenel MOISE

19/02/2017 Ekselans mesye Jovenel MOISE, Prezidan repiblik Dayiti, Mwen se yon jèn ayisyen ki boure ak fyète nan rann sèvis a peyi’m, fyète sila sòti nan: -          Mete yon katetè iretral pou yon pasyan ki gen yon retansyon irinè -          Fyète sila sòti tou nan fè yon akouchman, ede yon fanm kap soufri ak doulè e tout fanmi an rejwenn souri yo lèm parèt nan sal datant lan mwen di: “kote rad pou bb a” Lis la te ka pi long men mwen fè’l pi kout pou’m pa pran tròp nan tan’w, men mwen te vle di’w ke mwen santi’m itil nan peyi’m. Mwen t’ap bliye prezante’m wi prezidan, ou a eskize’m pou mank lizay sa, non pa’m se Dr MARC Espelando, pèmèt mwen fè’w yon konfidans prezidan: men mwen ap tranble wi pandan map mete Dr a devan nonm nan, tit sila ki se yon tit nòb tout kote sou planèt tè a. Siman w’ap mande tèt ou pou kisa men m’ap tranble a? Ebyen m’ap reponn ou wi mesye le prezidan. ...