Crédit Photo: Loop Haïti
L’argent, on dirait, fait perdre le bons sens. Même
la décence aussi. Encore plus le devoir de retenu. Un homme se doit d’être discret.
Mais, tel n’est pas le cas pour Dimitri Vorbe, qu’on aurait cru être très différent
des autres profiteurs d’Haïti. C’est cette catégorie qui maintient le Pays dans
la misère et la crasse. En plus, bien sure, des esclaves placés à la
magistrature suprême de l’État. Ce sont ces gens qui installent la terreur à
volonté. Cette bourgeoisie qui alimente les gangs armés, car chacun à son petit
clan de bandits.
L’actrice s’est laissée aller pour dire tout
haut ce que d’autres n’osent pas penser, voir dire tout bas. Les esclaves à
talents ou esclaves fonctionnels se plieraient devant Dimitri Vorbe, pour avoir
reçu le sponsor de sa compagnie. Une entreprise qui s’enrichit à partir des
taxes de la population Haïtienne. Une entreprise, dit-on, qui vend du blackout
à l’État haïtien.
Depuis quand il était interdit de dire ce qu’on
pense ? Le problème, c’est que Dimitri Vorbe est tellement habitué à des
esclaves à la RoodyRoodboy, qu’il croyait que Gessica se serait tue. Mais, elle
a touché la plaie du doigt. La réaction de Dimitri Vorbe serait-elle comme une
prise de conscience ? Se rendrait-il enfin compte combien salope il est,
lui aussi ?
Il fallait que ça arrive pour comprendre qui est
qui en Haïti. Pour faire tomber les masques. D’autres jeunes aujourd’hui sont prévenus.
Il est clair que Dimitri Vorbe soit une langue longue, avec qui il faut prendre
toutes les précautions. Il est loin de vouloir accepter d’entendre la vérité.
Dimitri Vorbe est comme ces hommes qui, après
des relations sexuelles avec une fille, racontent l’histoire à tout le
quartier. La discrétion est de rigueur, surtout quand on se dit humain, avec
cinq sens. C’est de la mesquinerie purement et simplement, de vouloir brider
quelqu’un, parce qu’on l’avait aidé. Et si Gessica Généus ne pouvait se donner à
manger ? Imaginons ce qu’aurait dit et fait Dimitri Vorbe !
Gessica a aussi ses torts car il n'avait pas compris la question de sponsoring. De plus,certaines personnes de la classe moyenne veulent souvent accuser celles de la classe possédante leur misère sans conjuguer leur commun effort et de façon constante pour pouvoir changer leur image. Probablement,il était juste question "give to give" alors il aurait fallu une nouvelle forme d'éducation,de civisme,de sociabilité et de civilisation pour voir une Haïti nouvelle et relancée sociopoliticoéconomicoculturelle en ce plein 21ième siècle.
RépondreSupprimerJe croyais qu'il etait différent des autres,le constat est fait pas de différence entre ces bourgeois salopes
RépondreSupprimerUne fois de plus Dimitri à montré son vrais visage aux gens qui croyaient qu'il était l'hoe qu'Il paraît
RépondreSupprimerFanel Delva
RépondreSupprimerBon bagay m vraiment apprécier texte lan sèl sa m ka kòmante de texte ou an , se paske Ayiti nou poko ka pran konsyans ke boujwazi salòp sa se li ka afè nou chak vin pi mal paske se yo ki koz enflasyon an nan nivo sa
Mpa kwè pwoblèm Ayiti se laboujwazi, mwen plis kwè pwoblèm peyi a se klas swadizan klas mwayèn nan. Gad istwa peyi a, gad nan ki klas nou rekrite pèsonèl politik nou yo, moun kap travay nan leta yo, yo sòti nan klas mwayèn nan.
RépondreSupprimerMen travay kiyès yap fè?
Kijan yo fè rive la?
Mwen pa dedwane laboujwazi de gagòt,vòl, elt yo fè nan peyi a,men klas mwayèn se zouti laboujwazi itilize pou piye peyi a.